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Le 01/07/2021
ATTENTION : Michèle Bourton ne se déplace plus dans les librairies pour dédicacer son livre sauf si elle y est invitée pour faire une conférence.
- 2 et 3 octobre 2021 : 4e congrès de "l'innovation et de l'éducation" organisé par Julien Perron de 10h à 18h, à l'espace Charenton - PARIS. Stand n° 8.
- 9 octobre 2021 : dédicaces au salon du bien-être à la médiathèque de SAINT-QUENTIN (02)
- 23 octobre 2021 : 2ème Assises de la Prévention et de la Protection Animale animée par Laetitia Barlerin entre autres. Dédicaces de Michèle Bourton qui clôturera la soirée avec une chanson sur les chats. Mairie de Saint-Mandé (94)
- 30 octobre 2021 : dédicaces à la FNAC de Lagorgue dans le département 59, de 13h30 à 16h30.
- 6 novembre 2021 : dédicaces FNAC de Montélimar (26) de 14h à 18h
- 9 décembre 2021 : RTBF Mons (Belgique)
- 14 au 17 décembre 2021 : dédicace de son autobiographie après la conférence donnée à l'ONU (Suisse)
- 5 février 2022 : 6ème journée mondiale des intelligences animales organisées par Yolaine de la Bigne. Michèle Bourton et Céline Brusa (Présidente de l'ONG Candide International) donneront une conférence avec questions/réponses. Elles dédicaceront ensuite leurs livres (A l'école des chats, quand les animaux nous rendent humains, de Michèle Bourton et A l'école des chats, la pédagogie Candide, de Michèle Bourton et Céline Brusa). PARC DE LA VILETTE. PARIS
- du 21 au 24 avril 2022 : dédicaces à la grande fête du livre à Paris. Grand palais - PARIS
- 5 juin 2022 : 1er salon FELINAC à Teste de la Buch en Gironde. Michèle Bourton dédicacera son autobiographie publiée aux Editions Louise Courteau juste après sa conférence à 14h au Parc des Exposition de Teste de la Buch près d'Arcachon. Pour en savoir plus, tapez "salon Félinac". Michèle se fera un plaisir à la fin de sa conférence de répondre aux questions du public ou bien au moment de la dédicace vers 14h50. "A l'école des chats, quand les animaux nous rendent humains".
- 24 février 2024 : café-chats de 10h à 11h30 : Romans sur Isère (Drôme)
- 9 juin 2024 : salon "Des animaux et des livres" de 10h à 18h. Collège Delfeuille, 3 Rue Maute Lelasseux, 28400 Nogent-le-Rotrou
Le 01/07/2021
Comme vous le savez tous, Michèle BOURTON et Céline BRUSA devaient se rendre au Bénin pour y construire une école avec l'aval du Ministère de l'Education nationale au Bénin, en Afrique de l'ouest. Pierre Chanou, le directeur de la recherche et de l'enseignement à Cotonou les a aidées à remplir toutes les formalités.
Le cabinet du ministre leur avait fait cette proposition sur les demandes expresses de Céline et Michèle à l'issue de nombreuses visios avec Pierre Chanou. En voici quelques détails.
- Le but de cette école était de la construire dans la savane. Elle se serait appelée : Ecole Candide dans la savanne. En effet, fortes de leur expériences et des résultats époustoufflants obtenus en France avec la Pédagogie Candide liée à la ronronthérapie, Michèle et Céline ont voulu intégrer la connaissance d'autres animaux dans des pays où les habitants vivant tout près d'eux ne les connaissent pas. Or, on ne protège que ce que l'on aime et l'on aime que ce que l'on a appris à aimer. "La pédagogie Candide liée à la ronronthérapie" se serait étendue à la "Pédagogie liée à l'intelligence animale". Il aurait s'agit d'une école pilote. Peu d'enfants béninois sont scolarisés plus de trois ans ! Le but était donc de les scolariser de l'âge de 5 à 12 ans, garçons tout autant que filles et de donner à ces écoliers le bonheur d'apprendre non seulement toutes les disciplines obligatoires imposées par le ministère de l'Education béninois, mais d'y ajouter un module de connaissance des animaux de la savane.
- Cette école, façonnée par Michèle et Céline aurait eu pour objectif de permettre à ces enfants un suivi régulier des apprentissages afin de pouvoir se diriger vers des études supérieures tout en étant très sensibilisés à l'extrême beauté qui les entoure (faune et flore). Ainsi, pour y parvenir, Michèle et Céline avaient formulé ces demandes :
- - 20 élèves par classe au maximum,
- - pas de devoirs à la maison, (ceux-ci étant inscrits dans l'emploi du temps)
- - chats se promenant librement dans l'établissement,
- - programmes de l'Education nationale suivis rigoureusement,
- - chaque élève aurait étudié l'animal de la savane de son choix sur le plan théorique à raison d'une heure par semaine durant un mois (pour en changer chaque mois),
- - visite de la savane avec des rangers pour observer les animaux déjà étudiés en théorie (leur classe, leur constitution, leur habitat, leurs besoins alimentaires, la flore, etc.) tous les vendredis après-midi. Lien vers les rangers : https://fr.africanparks.org/les-parcs/w
- - école construite pour respecter les règles d'hygiène indispensables : points d'eau, toilettes pour filles et toilettes pour garçons,
- - formation des enseignants locaux pendant deux mois pour savoir enseigner avec des animaux dans l'école et pour le bien-être de ces merveilleux compagnons à quatre pattes,
- - Deux allers/retours par année scolaire étaient prévus par le ministère pour que Michèle et Céline puissent s'assurer du bien-être des enfants, des animaux, des enseignants et du suivi du programme scolaire béninois ainsi que celui instauré par l'ONG Candide International concernant la découverte de la faune et de la flore chaque semaine.
Mais ce projet ne se réalisera pas ! Pourquoi ?
Tout d'abord, la pandémie de la COVID est arrivée en France et en Afrique au moment où nous étions sur le point de concrétiser ce merveilleux projet. Pierre Chanou en fut victime et très gravement malade pendant plusieurs mois. Nouvelles élections présidentielles au Bénin et changement du Ministre de l'Education nationale. Puis, terrorisme au milieu de la zone où cette école pilote Candide allait se monter. Enfin, nous ne recevons que trop peu de dons pour entamer les achats indispensables pour le premier voyage (billets d'avions, fournitures scolaires, etc.).
MAIS, il y a encore un MAIS !
Après la sortie de l'autobiographie de Michèle BOURTON, Céline et Michèle sont sur le point de sortir un livre qu'elles ont écrit à quatre mains : cet ouvrage a pour objectif d'expliquer dans ses moindres détails l'aventure de Candide dans le Vaucluse durant sept ans. La France étant fermée à l'introduction d'animaux dans les écoles, les deux comparses vont se tourner vers des pays européens et faire des demandes notamment en Suisse et en Belgique dans un premier temps. Elles sont ouvertes à toutes propositions. A suivre, donc...
Candide International est membre de la SDG Academy’s Community of Practice, la plate-forme de ressources éducatives des plus grands experts mondiaux du développement durable. 16 septembre 2020
Fin mars 2021 : sortie en français de l'autobiographie (témoignage) de Michèle BOURTON dont le titre est "A l'école des chats, quand les animaux nous rendent humains" publié chez les Editions Louise Courteau et à commander dans toutes les librairies. Déjà en précommande sur tous les sites de ventes par Internet et dans vos librairies.
Mi janvier 2023 : participation de Michèle Bourton à l'écriture du livre "Les animaux médecins" paru aux éditions Leduc et en vente partout. Dix spécialistes dont Michèle ont écrit sur divers animaux sous la direction de Yolaine de la Bigne.
Pourquoi le niveau des élèves est-il si bas ?
Le 18/06/2021
Pourquoi le niveau des élèves est-il si bas ?Au groupe scolaire Candide du Vaucluse, chaque jour, nous recevions des élèves, notamment en primaire, dont les parents nous annonçaient : "c'est pour un CE2 ou CM1 ou un CM2 l'an prochain".
Or, quand nous faisions lire l'élève en question, on s'aperçevait qu'il ne savait pas lire et encore moins écrire. Nous examinions ses cahiers remplis uniquement de polycopiés sur lesquels l'enfant avait "tenté" de combler les trous. Les élèves avaient très peu écrit. Nos élèves dyslexiques lisaient mieux que les non-dyslexiques que l'on nous proposait d'intégrer à Candide !
Et quand nous interrogions les parents sur ce qu'en pensait le maître ou la maîtresse de l'enfant, les parents nous répondaient : "Ah, mais il passe en classe supérieure !". Nous avons même reçu quelques élèves que l'Education natioanle faisait passer en 6e sans savoir ni lire ni écrire correctement !
Quand nous montrions le niveau de nos candidiens en CE1 simplement, les parents nous disaient que leur enfant n'avait "rien fait de tout cela", mais ils pensaient quand même que leur enfant, la chair de leur chair, serait capable de rattraper. Nous savions que non ! En entrant à Candide, le petit devrait apprendre à lire et à écrire pour commencer. Les parents nous rétorquaient aussi que chez nous, nous étions en avance sur les programmes. Pas du tout, nous les suivions et les respections scrupuleusement et ne faisions pas faire le travail de CM2 à un enfant de sept ans par exemple. Nous suivions tout simplement les programmes de manière rigoureuse. Les candidiens en CE1 savaient lire couramment, avaient des cahiers propres qui n'étaient pas des torchons avec des dessins partout. Ils étaient réellement capables de passer dans la classe du niveau supérieur au leur. Ils faisaient tous leurs exercices à la main, en écrivant, et non sur des polycopiés à trous.
Bien sûr, dans l'Education nationale, je comprends parfaitement que les enseignants ne puissent pas s'occuper de 26, voire d'une trentaine d'élèves et je ne les blâme pas car moi non plus, je ne pourrais pas hisser ces enfants vers le haut.
Certains parents, effarés et prenant conscience du bas niveau de leur enfant, s'inquiétaient de la manière dont on parvenait à faire lire couramment nos élèves du CE1 ou à les faire écrire aussi bien qu'ils le faisaient quand on leur montrait leurs cahiers. Tout à coup, ils prenaient peur. Comment faisions-nous ? Non, nous ne les brutalisions pas !
Nos élèves apprennaient tous les jours avec un immense bonheur. Nous mettions en valeur leurs travaux. Ils évoluaient journellement et pourtant chaque jour, ils riaient beaucoup. Nous apprenions dans la joie les programmes obligatoires. Les pitreries de nos chats provoquaient aussi de beaux éclats de rire. Les ronrons nous apaisaient. Nous étions à l'écoute de chaque enfant pour qu'il puisse progresser avec un sourire jusqu'au oreilles.
En revanche, les enfants "hyper protégés" dans leurs bêtises par leurs parents étaient assez rapidement exclus de notre établissement et nous en avions le droit puique nous étions "privés hors contrat". Nous en arrivions là lorsque le papa ou la maman ne nous aidait pas dans l'instruction de leur fils ou de leur fille et ne cessait d'excuser sa progéniture dans ses multiples manques de respect, ses mensonges et ses devoirs non rendus... sachant qu'ils étaient réalisés en classe sauf pour l'apprentissage des verbes irréguliers en anglais et la grammaire en espagnol !
Les enfants inscrits le plus tôt possible à Candide étaient de futurs étudiants qui réussissaient leurs études et les résultats acquis en 2020 nous le prouvent encore. Bac en poche, ils se réalisent dans les études supérieures qu'ils ont choisies et que l'on ne leur a pas imposées.
Alors pourquoi les élèves avaient-ils un niveau si bas lorsque l'on nous les présentait pour entrer à Candide ? Parce que c'était tout juste si leur maître ou maîtresse savait qu'ils existaient du fait des classes surchargées. Les parents ne se souvenaient plus que lorsqu'ils étaient enfants eux-mêmes, ils travaillaient quand leurs propres parents ne les protégeaient pas à tout bout de champ. Les programmes proposés par les différents ministres ne valsaient pas sans arrêt et on on pensait moins à la fatigue de l'enfant qu'à ses causes réelles : l'inanité de ses efforts ! Dans la pédagogie Candide, les enfants travaillent vraiment et sont plus heureux que ceux qui s'ennuient au fond d'une classe. L'enfant est reconnu, aidé, encouragé et suivi. Et pour que chaque petit être humain puisse ainsi progresser, le nombre d'élèves par classe est limité à 15 seulement.
A Candide, nous n'acceptons plus les enfants hyper protégés dans leurs bêtises par leurs parents, nous n'acceptons plus les enfants "phobiques" car il s'agit beaucoup trop souvent de caprices vis-à-vis de parents trop laxistes, à de très rares exceptions près, et ceux-là sont les bienvenus.
En résumé, dans le réseau "Groupe scolaire indépendant Candide", nous acceptons les enfants dont les parents sont AVEC NOUS et pas CONTRE NOUS lorsqu'il s'agit du travail de leur enfant. Nous ne sommes pas des garderies mais des écoles dans lesquelles on travaille sérieusement. Pourtant, à Candide, nous avons aussi des enfants "dys" mais dont les parents sont derrière nous. Ces élèves, non moins intelligents que les autres, progressent rapidement. C'est sûr, ils travaillent toute la journée et le soir, ils sont normalement fatigués. Mais ils n'ont pas de devoirs (sauf en 3e pour le brevet) et peuvent se détendre en famille. Après l'école ou le collège, ils sont heureux à la fois de leur journée et de s'arrêter de travailler pour profiter pleinement de leurs activités occupations sportives ou artistiques... celles qu'ils ont choisies là aussi !
Michèle BOURTON, Fondatrice de la pédagogie Candide, créatrice et Directrice du Groupe scolaire indépendant Candide de 2013 à 2019, formatrice, enseignante, conférencière, écrivain et Vice-Présidente de la l'ONG Candide International.
Une orthophoniste à l'école...
Le 18/06/2021
Depuis quelques années, les enseignants voient déferler dans leurs classes une floppée de pathologies ou de troubles. Dyslexie, dysorthographie, dys-ce ou dys-cela, phobie scolaire, précocité, troubles du développement, troubles de l'attention (avec ou sans hyperactivité s'il vous plaît). Mon enfant est "lent", "rêveur", "anxieux", "fatigable" (oui, surtout, ne le fatiguez pas !) ...
Les familles sont souvent épuisées par le parcours du combattant auquel elles doivent faire face pour faire entendre que leur enfant n'est "pas comme les autres". Mais ce qu'elles ne savent pas, c'est que les enseignants ne reçoivent aucune formation pour prendre en charge toutes ces particularités cognitives. Et pour cause : elles relèvent toutes d'une RE-EDUCATION. L'enseignant ne peut donc pas à la fois éduquer et rééduquer. L'école ne peut à la fois être le lieu du savoir et le lieu de la remédiation ou de l'adaptation.
Ces troubles, je les ai côtoyés durant vingt ans dans mon cabinet libéral d'orthophonie. J'ai reçu tous les parents désoeuvrés, tous ces enfants épuisés de ne pas y arriver ou de passer de profesionnels en professionnels pour savoir ce qu'ils avaient. Comme s'ils avaient attrapé une maladie...
Je les ai accompagnés dans leur chemin de rééducation mais j'avais toujours cette question présente à mon esprit : comment un enseignant peut-il, dans ses classes surchargées, s'occuper du trouble personnel de chacun ? Et devant la plainte de plus en plus vindicative des parents, comment appréhender l'enfant en tant qu'être unique et exceptionnel ?
De 2014 à 2019, je suis passée de l'autre côté du miroir. Je suis devenue enseignante au Groupe scolaire indépendant Candide dans le Sud et toutes mes questions ont refait surface avec, cette fois-ci, l'obligation d'y trouver une réponse.
Des réponses, je n'en ai toujours pas car la clé de la pédagogie est justement de pouvoir nourrir chacun de la façon qui lui convient le mieux. Mais, j'ai pu expérimenter à Candide ce qui favorisait le bien-être des enfants.
En premier lieu, il est évident que l'effectif réduit est la première clé. 15 élèves dans une classe vous laissent l'occasion d'interroger chacun, de vous adresser à chacun pendant les heures de classe. La concentration est bien meilleure chez l'enfant lorsqu'il sait qu'il va pouvoir participer autant de fois qu'il le souhaite et que l'on va s'intéresser à lui.
Ensuite, la deuxième évidence vient de l'exigence que Michèle Bourton a désiré dans l'application des programmes scolaires. Nous ne les survolons pas parce que nous ne perdons pas de temps à faire copier des leçons durant des heures aux élèves. Nous avons donc le temps de les entraîner, de les faire écrire et lire. Avez-vous déjà vu un sportif réussir une performance sans entraînement ? Jamais ! C'est pareil pour les élèves. A l'heure où notre société base tous ses arguments sur la facilité et l'oisiveté, nous prônons le contraire et nous savons que ça marche !
En tant qu'orthophoniste, j'ai toujours expliqué à mes petits patients que leurs progrès ne tiendraient qu'à l'entraînement intensif qu'ils feraient chaque jour. Ils auraient besoin de beaucoup de courage pour ne pas céder mais les résultats les encourageraient. Au quotidien, cela implique que la famille soit présente et puisse aider son enfant à s'organiser et à se prendre en main à la maison. Cette étape est essentielle.
A Candide, nous insistons toujours sur cette triangulation école-élève-parents. Impossible de fonctionner autrement. Et je crois que c'est ce qui manque cruellement aux enseignants de l'école traditionnelle par faute de moyens bien sûr. Dans notre petite école/collège, (75 élèves en 2019), nous communiquions forcément plus facilement avec les familles qui désiraient un rendez-vous et ce lien renforçait le sentiment de sécurité chez l'enfant.
A Candide, nous avons eu aussi notre lot de familles qui nous laissaient leur(s) enfant(s) arguant qu'avec 390 € par mois, nous pouvions bien l'éduquer entièrement ! Fatigués, les parents espèrent que quelqu'un prendra le relais mais ils pouvaient rapidement accabler ce nouveau système si les résultats n'étaient pas au rendez-vous. Pourtant, nous ne sommes pas une structure qui guérit les pathologies ! Nous pouvons simplement aider mieux que dans le système traditionnel pour les raisons évoquées plus haut. Heureusement, ces familles ne sont pas légion ! Et les progressions fulgurantes de la plupart des enfants nous enchantaient chaque jour.
Les parents sont donc au coeur de l'évolution et nous avons besoin d'eux pour dresser le cadre dans lequel l'enfant saura évoluer. Un parent qui contredit ou qui conteste l'enseignant verra toutes les chances de réussite de son enfant s'amenuiser et même disparaître. Depuis la fermeture du Groupe scolaire Candide dans le Vaucluse, nous recevons des messages de parents nous demandant de réouvrir la structure mais nous ne le ferons pas à L'Isle sur la Sorgue.
Aujourd'hui, notre expérience nous apporte une certitude et elle risque de faire bondir un certain nombre de lecteurs : travail et cadrage éducatif fonctionnent ensemble pour favoriser la réussite de nos élèves. Nous exigeons de ces derniers qu'ils travaillent et n'avons pas peur de les "fatiguer". Nous leur demandons de ne pas s'appuyer sur leurs troubles pour avoir l'excuse de ne rien faire. Nous demandons aux familles de les encourager plutôt que de les plaindre et de les aider à trouver comment s'adapter au monde. Les rééducateurs paramédicaux sont de merveilleux vecteurs pour trouver des solutions et des compensations aux différents troubles. L'effort doit redevenir une qualité à développer.
Dans la configuration pédagogique de notre établissement dans le Vaucluse, nous avons remarqué que bien des troubles cessaient de s'exprimer avec autant de force qu'avant tout simplement parce que nous avons mis l'enfant au travail avec fermeté et bienveillance !
C'est dans cette vision d'espoir que l'orthophoniste et l'enseigante que je suis trouvent toute leur place.
Céline BRUSA, Présidente de l'ONG Candide International, orthophoniste, conférencière, communicatrice animale.
Charte de l'ONG CANDIDE INTERNATIONAL
Le 20/05/2021
charte-de-l-ong-candide-international.pdf (148.55 Ko)
Publications suite à nos conférences
Le 04/02/2021
certificat-onu-2020-celine-brusa-2.pdf (253.75 Ko)
publication-icate-janvier-2021.pdf (401.83 Ko) Dublin (Irlande)
educationconf-1-136.pdf (778.95 Ko) Londres (Royaume-Uni)
certificat-dublin-michele-bourton.pdf (318.54 Ko)
certificat-conference-londres-03-18.pdf (419.89 Ko)
certificat-dublin-celine-brusa.pdf (318.56 Ko)
certificate-conference-onu-michele-bourton.pdf (253.76 Ko)

Les Objectifs de Développement expliqué aux enfants
Le 17/11/2020
Un guide sur les objectifs de l'UNESCO adressé aux enfants et aux jeunes.